« Nous, trans, pédés, gouines, voulons apporter dans les rues des messages antifacistes et anticapitalistes. »
Plusieurs militants et militantes ont décidé de quitter le collectif du groupe, jugeant que la marche s’était institutionnalisée.
Pour la troisième année consécutive, une Pride de Nuit occupera les rues de Toulouse, mais sera privée de visibilité dans le coeur de la ville rose…