À Tel-Aviv, les ados LGBT se préparent à investir à nouveau le local d’Agudah

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Un mois après l'attentat homophobe, qui a fait deux morts et de nombreux blessés, comment va la communauté LGBT?

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Ce qui est curieux dans l’affaire de la fusillade du 1er août à Tel-Aviv (lire notre article), c’est que la police israélienne n’a toujours pas trouvé les responsables du meurtre. S’agit-il d’une homophobie policière ? Sinon, comment expliquer que cette même police, qui se veut d’ordinaire si prompte à résoudre les crimes, n’ait encore arrêté aucun suspect ? En tout cas, une chose est sûre : la police est confrontée ces derniers temps à des violences de plus en plus fréquentes dans la société israélienne. Le résultat, peut-être, d’une haine continue et croissante entre israéliens et palestiniens, juifs et arabes, religieux et laïques (juifs ou musulmans), d’un mépris entre riches et pauvres, anciens et nouveaux immigrants, d’une homophobie qui a permis à un fou de commettre un crime, qui à ses yeux, est sûrement « une bonne action »… Rappel des faits : le samedi 1er août, un homme masqué a ouvert le feu dans le…

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