Louis-Georges Tin: « La Journée contre l’homophobie gagne de plus en plus en reconnaissance »
Louis-Georges Tin, fondateur du Comité Idaho, tire un bilan globalement positif de la Journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie du 17 mai dernier.
Louis-Georges Tin, fondateur du Comité Idaho, tire un bilan globalement positif de la Journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie, le 17 mai dernier. Il répond aux questions de Yagg. La Journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie semble de mieux en mieux porter son nom, avec plus d’actions dans plus de pays. Partagez-vous ce constat ? Oui, en effet. Au début, il y avait 40 pays environ ; cette année, il y en a plus de 60 qui participent à la Journée. Et pour ce qui est de la France, en 2005, il y avait environ 100 événements programmés ; cette fois-ci, nous sommes largement au-dessus de 150. C’est dire que la Journée contre l’homophobie et la transphobie gagne de plus en plus en importance et en reconnaissance. Concrètement, en France en particulier, quels ont été les temps les plus marquants et les annonces concrètes que vous retiendrez de cette journée ? Le…
Pour continuer la lecture de cet article :
Vous avez déjà un accès ?
- Sebastian Coe, candidat à la présidence du CIO, veut une « politique claire » sur le genre
- Le Britannique Tom Daley passe des plongeons aux tricots
- Concert annulé de Bilal Hassani en 2023 : jusqu'à six mois de prison requis pour provocation à la haine et injures
- Au moment de souffler ses 40 bougies, la sérophobie n'a pas encore disparu, alerte l'association Aides
- « La Manif pour tous » au gouvernement ? Les droits acquis seront « préservés », assure Barnier