Caster Semenya, Kim Clijsters, Rubens Barrichello, Yoann Gourcuff: Un week-end vintage
C’était hier, c’est aujourd’hui, dans la douceur de cettte fin d’été, une chronique totalement nostalgique tournée vers l'avenir.
C’était hier, c’est aujourd’hui, dans la douceur de cettte fin d’été, une chronique totalement nostalgique tournée vers l’avenir. Caster, retour gagnant. Quelle affaire. En août 2009, aux championnats du monde, la jeune femme fait sensation en s’imposant, facile, dans le 800 m. Mais Caster Semenya fait problème. Trop masculine. Interrogations sur son genre, commentaires hallucinants parfois, sur les ondes ou dans les autres médias. Des test sont diligentés. L’affaire prend dimension d’état en Afrique du Sud. Ce qui impressionne, au-delà de la surprise, de l’ignorance aussi, c’est le temps qu’il aura fallu pour que l’athlète sud-africaine court à nouveau. L’autorisation a été accordée début juillet, soit près d’un an après les « faits ». Les résultats des tests resteront confidentiels, a indiqué la fédération internationale d’athlétisme (IAAF). Près d’un an plus tard, Caster Semenya a terminé première de la réunion de Berlin, troisième au meeting de Bruxelles, hier, courant les deux 800…
Pour continuer la lecture de cet article :
Vous avez déjà un accès ?
- Le Britannique Tom Daley passe des plongeons aux tricots
- Le plongeur britannique Tom Daley prend sa retraite
- JO-2024 : polémique sur le genre d'une boxeuse, un « faux-débat » dénoncent des associations
- JO-2024 : la volleyeuse Ebrar Karakurt veut « inspirer » les femmes turques
- JO-2024 : ouverture de la Pride House, la « fan zone » destinée aux personnes LGBT+ et friendly