L’ancien président du Botswana met en garde contre la stigmatisation et les discriminations LGBT-phobes
À la tête du programme «Champions pour une génération sans sida» de l'ONU, l'ex-président du Botswana Festus Mogae a tenu un discours fort sur les discriminations et la stigmatisation des personnes LGBT en Afrique.
Alors que 12 agences de l’Organisation des Nations Unies (ONU) se sont engagées, mardi 29 septembre, pour les droits des personnes LGBTI, les pays membres du « LGBT Core Group » organisaient une rencontre sur l’égalité et l’inclusion. Le « LGBT Core Group » de l’ONU est un groupe transrégional comprenant l’Argentine, l’Australie, le Brésil, le Chili, la Colombie, la Croatie, les États-Unis, la France, Israël, le Japon, le Montenegro, la Nouvelle-Zélande, la Norvège, les Pays-Bas, le Royaume-Uni, le Salvador, l’Uruguay ainsi que l’Union européenne, le bureau du Haut-Commissaire aux droits de l’Homme, Human Rights Watch et l’International Gay and Lesbian Human Rights Commission (qui vient de changer de nom et s’appelle désormais OutRight Action International). Parmi les intervenant.e.s, Festus Mogae, ex-Président du Botswana 1998-2008), dont le discours a frappé les esprits – et dont certain.e.s observateurs/trices disent qu’il serait bon qu’il le tienne aussi dans son pays. « Les problèmes auxquels sont confrontées les…
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