Prison ferme requise contre le leader d'un groupuscule néo-nazi dissous
Publié le
Trois ex-dirigeants d'un groupe néo-nazi dissout comparaissent depuis lundi pour "participation à un groupe de combat", à savoir une organisation hiérarchisée, susceptible de troubler l'ordre public et ayant accès à des armes.
Soulignant "leur envie de violence", le parquet a requis mardi 13 décembre à Marseille jusqu'à un an de prison à l'encontre de l'état-major du groupuscule néo-nazi Blood and Honour Hexagone (BHH), trois ans après sa dissolution.
Le jugement est attendu mercredi à 14 heures.
Trois ex-dirigeants de BHH comparaissent depuis lundi pour "participation à un groupe de combat", à savoir une organisation hiérarchisée, susceptible de troubler l'ordre public et ayant accès à des armes. Et pour la procureure, ces trois conditions sont remplies dans ce dossier.
Pour continuer la lecture de cet article :
Vous avez déjà un accès ?
Lire aussi
- Le gouvernement Bayrou déplait fortement aux militants LGBT+
- Sebastian Coe, candidat à la présidence du CIO, veut une « politique claire » sur le genre
- Le Britannique Tom Daley passe des plongeons aux tricots
- Concert annulé de Bilal Hassani en 2023 : jusqu'à six mois de prison requis pour provocation à la haine et injures
- Au moment de souffler ses 40 bougies, la sérophobie n'a pas encore disparu, alerte l'association Aides
Aucun commentaire…