Les personnes LGBT+ suisses refusent que le pays devienne un refuge pour adeptes des thérapies de conversion
La communauté LGBT+ suisse s'inquiète de ce que le pays puisse devenir un refuge pour les adeptes des thérapies de conversion, des pratiques souvent promues par les églises évangéliques et qui visent à imposer l'hétérosexualité.
La communauté LGBT+ suisse s'inquiète de ce que le pays puisse devenir un refuge pour les adeptes des thérapies de conversion, des pratiques controversées qui visent à imposer l'hétérosexualité et qui sont déjà interdites dans de nombreux pays voisins.
Le gouvernement suisse a promis il y a un an de se saisir du dossier et le parlement va commencer à en débattre la semaine prochaine.
En Allemagne et en France, "ces tentatives de conversion sont déjà interdites, et des initiatives pour les interdire dans toute l'Union européenne sont en cours. Il faut absolument éviter que la Suisse devienne un refuge pour les "guérisseurs d'homos"", demande l'association suisse de défense des droits des hommes gays et bis Pink Cross.
Pour continuer la lecture de cet article :
Vous avez déjà un accès ?
- La détresse de personnes LGBT+ après l'élection de Donald Trump
- Les deux assassins de l'élue brésilienne Marielle Franco condamnés
- Argentine : polémique après la sortie d'un ministre sur les identités sexuelles « inventées »
- Le président bulgare ratifie la loi contre la « propagande » LGBT+
- En Allemagne, les Marches des fiertés défient l'extrême droite