Aloïse Sauvage : « C’est essentiel de pouvoir se projeter. Quand on est ado et qu’on ne voit pas de lesbiennes dans les films, dans la chanson, c’est compliqué »
Membre du jury du Mobile Film festival, aux côtés d’Agnès Jaoui et d’Oxmo Puccino, Aloïse Sauvage s’est confiée à Komitid sur sa jeune carrière, son évolution et l’importance de la représentation.
Découverte dans 120 Battements par minute, Aloïse Sauvage s’est fait sa place avec la douce détermination de celles qui grandissent vite et savent où elles vont. Affirmée, assumée, la comédienne enchaîne les rôles choisis avec soin et les chansons écrites avec une belle sincérité. Dans ces deux disciplines, elle a trouvé son ton, sa voix, son espace. Alors qu’elle est, aux côtés d’Agnès Jaoui et d’Oxmo Puccino, membre du jury du Mobile Film festival, Aloïse Sauvage s’est confiée à Komitid sur sa jeune carrière, son évolution et l’importance de la représentation. Komitid : Lorsque vous étiez enfant, le rêve ultime c’était la musique ou la comédie ? Aloïse Sauvage : Mon rêve de petite fille, c’était d’être sur scène même si le médium n’était pas encore tout trouvé. À sept ou huit ans, je visais plutôt le one woman show mais on y est presque ! J’avais ce rêve d’être actrice ou d’être sur scène,…
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boblopez
Je ne crois pas du tout que le cinéma https://voirfilms.page/thriller/ puisse enseigner quelque chose. Au contraire, cela fonctionne comme un miroir dans lequel nous pouvons nous voir et nos actions et tirer des conclusions. Et chacun a son propre miroir.