Municipales 2020 : quel bilan LGBT+ pour les maires de 17 grandes villes ?
À l’approche du premier tour des élections municipales, nous avons voulu dresser le bilan de ces six dernières années en matière de politique locale LGBT+. Nous avons analysé les réponses à notre questionnaire émanant des associations de 15 grandes villes. Voici les enseignements que nous avons pu en tirer.
Mise à jour le 11 mars à 16h25 : complément d'informations sur Nice et Nancy.
À l’approche du premier tour des élections municipales, nous avons voulu dresser le bilan de ces six dernières années en matière de politique locale LGBT+. Nous avons adressé un questionnaire à des associations des grandes villes françaises. Elles sont 17 à nous avoir répondu. Voici les enseignements que nous avons pu en tirer.
Bons élèves ? Mauvais élèves ?
Le principal enseignement de notre enquête, c’est que les plus grandes villes françaises semblent — à des degrés divers — avoir pris conscience lors de ce dernier mandat, débuté un an après le vote du mariage pour tous, que les personnes LGBT+ sont des citoyen.ne.s comme les autres, qui méritent qu’on s’en occupe.
Pour continuer la lecture de cet article :
Vous avez déjà un accès ?
- Le gouvernement Bayrou déplait fortement aux militants LGBT+
- Sebastian Coe, candidat à la présidence du CIO, veut une « politique claire » sur le genre
- Le Britannique Tom Daley passe des plongeons aux tricots
- Concert annulé de Bilal Hassani en 2023 : jusqu'à six mois de prison requis pour provocation à la haine et injures
- Au moment de souffler ses 40 bougies, la sérophobie n'a pas encore disparu, alerte l'association Aides