Une étude américaine révèle que les jeunes LGBT+ rejettent les étiquettes « gay » ou « lesbienne » pour d’autres termes

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Une étude de The Trevor Project révèle qu'un grand nombre de jeunes LGBT+ s'identifient de façon parfois assez subtile. Ces résultats pourraient avoir des conséquences importantes sur la compréhension de la vie et des besoins des jeunes.

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Les recherches sur l’orientation sexuelle, notamment parmi les jeunes LGBT+, ont toujours eu tendance à se concentrer sur la catégorisation des personnes homosexuelles, hétérosexuelles ou bisexuelles.

The Trevor Project est une organisation étatsunienne qui s’occupe de fournir des services de prévention au suicide pour les jeunes LGBT+.

Beaucoup ont choisi les genres « queer, sapiosexuel, asexuel, pansexuel, polyamoureux etc… ».

Dans une étude réalisée auprès des jeunes LGBT+, ces derniers avait la possibilité d’utiliser un terme pour se définir et les participant.e.s ont sélectionné « plus de 100 termes différents ». Dans cette étude, plus d’un jeune sur cinq se décrit comme « autre chose que gay, lesbienne ou bisexuel ».

Beaucoup ont choisi les termes « queer, sapiosexuel, asexuel, pansexuel, polyamoureux, etc… » pour se définir. De nombreux jeunes LGBT+ ont différencié l’attirance romantique de l’attirance sexuelle, écrivant par exemple « homosexuel biromantique » ou « panromantique asexué ».

Améliorer les formulaires

D’autres incluaient au moins deux orientations sexuelles ou types de relations, tels que « pansexuel et queer » ou « pansexuel et polyamoureux ». Fort de cette étude, les chercheurs suggèrent aux organisations s’adressant aux jeunes d’améliorer les formulaires qu’ils et elles sont amenés à remplir.