« Sortir de l'invisibilité » : voici ce qu'il se passe lorsqu'une ville organise sa première Marche des fiertés

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Alors que la saison des Marches des fiertés touche presque à sa fin (coucou Marseille, Montpellier et Nice), Komitid a voulu donner la parole à celles et ceux qui ont organisé leur première pride cette année, l'année dernière, ou qui n'ont pas (encore) réussi à concrétiser le projet mais qui en ont la ferme intention.

Un participant à la soirée conviviale organisée par RuralPride le samedi 30 juin à Riez, dans les Alpes-de-Haute-Provence - RuralPride
Un participant à la soirée conviviale organisée par RuralPride le samedi 30 juin à Riez, dans les Alpes-de-Haute-Provence - RuralPride
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Alençon, Châteauroux, Riez, Agen. Quatre communes de tailles différentes, quatre situations géographiques différentes, mais un point commun : celui d’avoir organisé pour la première fois en 2018 une Marche des fiertés ou un événement festif destiné à rassembler fièrement les personnes LGBT+ le temps d’une journée ou d’une soirée. Alors que les rues de la capitale ont vu défiler pour la 41ème année consécutive le cortège des fiertés, Komitid a souhaité donner la parole aux organisateurs et organisatrices de ces événements pour qu’ils et elles nous expliquent leur démarche. Et leur importance encore aujourd’hui. Alençon : « un “après marche” assez important » Le 19 mai, grâce à l’association Orn’en ciel, la toute première Marche des fiertés a pu voir le jour dans les rues d’Alençon. Malou Estenne, présidente de la structure, revient pour Komitid sur les raisons qui ont conduit à l’organisation de l’événement. Arrivée de la Pride d’Alençon dans le parc des…

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