Trois bonnes raisons d'écouter « Cure », le premier album d'Eddy de Pretto

Joie. Bonheur. Cure, le premier album d’Eddy de Pretto, sort demain.

Le chanteur au son non-genré titille notre curiosité depuis des mois… Voici trois bonnes raisons d’être aussi impatient.e.s que nous d’entendre ce que ce prodigieux kid nous a préparé :

Il s’agit d’un artiste queer

Eddy de Pretto a déclaré qu’il ne voulait pas être un « porte-drapeau », lorsque le magazine en ligne Shoes Up a utilisé le terme « icône gay » dans une question. Son homosexualité, il ne cherche ni à la cacher, ni à la mettre en avant. Mais si sa démarche artistique est plus personnelle que militante, cela n’enlève rien à l’importance de sa voix sur la scène de la chanson francophone. Encore moins à son talent.

Eddy de Pretto aborde des thèmes peu courants dans ses chansons

Et nous en avons besoin.

« Virilité abusive », il l’a dit. Dans Kid, Eddy de Pretto chante la toxicité de la masculinité hégémonique, dans tout ce qu’elle comporte de misogyne, d’homophobe et de violent. Un avant-goût qui laisse présager le meilleur pour les textes que nous découvrirons dans son premier album.

Cure sera l’occasion de découvrir de nouveaux talents

L’identité musicale éclectique et indéfinissable d’Eddy de Pretto, et sa plume aussi sensible que percutante, sont déjà des raisons suffisantes d’écouter son album. Mais ce premier opus sera aussi plein d’autres pépites, des artistes qui ont collaboré à sa réalisation et son écriture.

On nommera notamment Martin Dust, qui a écrit et co-écrit plusieurs des titres de Cure. Seul.e.s les habitué.e.s des cabarets parisiens, ou presque, connaissent déjà ce drôle d’oiseau, qui tient depuis avril 2017 son propre cabaret jazz-punk : le Cabaret de Poussière…

Une chose est sûre, cet album sera surprenant. Pour celles et ceux qui s’impatientent d’écouter Cure d’Eddy de Pretto il est possible de le précommander en ligne.