Vienne 2010: Les associations très déçues par l’interview de Roselyne Bachelot

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Pour Jean-Luc Romero, président du Crips, la ministre de la Santé ne répond pas aux urgences.

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À Vienne, l’interview que la ministre de la Santé a accordée à Libération a fait réagir les associations présentes et elles sont déçues. « Un pas en avant, trois pas en arrière, estime Christian Andreo, de Aides. Nous attendions des annonces claires sur la réduction des risques et sur le dépistage généralisé. Nous avons droit à des annonces floues, à un renvoi à la concertation avec d’autres ministères et elle repousse aux calendes grecques la mise en place de l’échange des seringues en prison, des salle de consommation dans le domaine de la réduction des risques chez les usagers de drogue. Sur les centres de dépistage hors les murs, elle indique qu’ils seront ouverts aux associations. Mais si c’est pour servir le café, ce n’est pas la peine ! Nous voulons pouvoir pratiquer le dépistage, pas servir le café ! ». « LA MINISTRE NE SAIT PAS CE QU’ELLE VEUT FAIRE » Pour Marc Dixneuf, directeur…

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