À Tel-Aviv, les ados LGBT se préparent à investir à nouveau le local d’Agudah
Un mois après l'attentat homophobe, qui a fait deux morts et de nombreux blessés, comment va la communauté LGBT?
Ce qui est curieux dans l’affaire de la fusillade du 1er août à Tel-Aviv (lire notre article), c’est que la police israélienne n’a toujours pas trouvé les responsables du meurtre. S’agit-il d’une homophobie policière ? Sinon, comment expliquer que cette même police, qui se veut d’ordinaire si prompte à résoudre les crimes, n’ait encore arrêté aucun suspect ? En tout cas, une chose est sûre : la police est confrontée ces derniers temps à des violences de plus en plus fréquentes dans la société israélienne. Le résultat, peut-être, d’une haine continue et croissante entre israéliens et palestiniens, juifs et arabes, religieux et laïques (juifs ou musulmans), d’un mépris entre riches et pauvres, anciens et nouveaux immigrants, d’une homophobie qui a permis à un fou de commettre un crime, qui à ses yeux, est sûrement « une bonne action »… Rappel des faits : le samedi 1er août, un homme masqué a ouvert le feu dans le…
Pour continuer la lecture de cet article :
Vous avez déjà un accès ?
- Le Britannique Tom Daley passe des plongeons aux tricots
- Concert annulé de Bilal Hassani en 2023 : jusqu'à six mois de prison requis pour provocation à la haine et injures
- Au moment de souffler ses 40 bougies, la sérophobie n'a pas encore disparu, alerte l'association Aides
- « La Manif pour tous » au gouvernement ? Les droits acquis seront « préservés », assure Barnier
- Zemmour condamné et relaxé en appel dans deux affaires distinctes